We use cookies to distinguish you from other users and to provide you with a better experience on our websites. Close this message to accept cookies or find out how to manage your cookie settings.
Published online by Cambridge University Press: 05 May 2010
«…le point le plus important, voyez-vous, c'est que le professeur soit plein de dignité et à une certaine distance de l'élève… Done, je suis assis au fond de la salle le plus loin possible de la porte; à lextérieur de la porte (qui est fermée) est assis un domestique; àl'extérieur de la porte extérieure (qui est egalement fermée), est assis un sous-domestique; dans l'escalier à mi-étage, est assis un sous-sous-domestique; enfin dans la cour est assis l'élève.
1 Wittgenstein, L., Tractatus logico-philosophicus, Gallimard, 1971 el Investigations Philosophiques, Paris, Gallimard, 1961.Google Scholar
2 Cf. Ayer, A.J., Logical Positivism, New York, Free Press, 1959.Google Scholar
3 Austin, J.L., Quand dire, c'est faire, Paris, Seuil, 1970.Google Scholar
4 Searle, J., Les actes de langage, Paris, Hermann, 1972.Google Scholar
5 Gehlen, A., Der Mensch, Athenäum, 1966, Francfort sur le Main.Google Scholar
6 Humboldt, W. von, Einleitung in die Kawi-Werke, 1835, p. 609 (trad, Paris, Seuil, 1974).Google Scholar
7 Cf. Gehlen, A., Urmensch und Spätkultur, Athenàum, 1957, Francfort sur le Main.Google Scholar
8 Cette question a été posée dans le cadre d'une pragmatique universelle par Habermas, J. dans «Vorbereitende Bemerkungen zu einer Theorie der kommunikativen Kompetenz» in Theorie der Gesellschaft oder Sozialtechnologie – Was leistet die Systemforschungl?, Francfort, Suhrkamp Verlag, 1971, pp. 101–142Google Scholar. Cette pragmatique se donne pour objet de déterminer les structures générates et génératrices des situations de communication tout en prenant soin d'en distinguer les conditions d'un discours de régulation des actions verbales et non verbales (Cf. Poulain, J.: «Le concept d'ideologie et les conditions socio-politiques de son usage» in Dialogue, 1974, no 4, pp. 675–706)Google Scholar. La même question est soulevée au sein d'une pragmatique transcendantale par K.O. Apel en référence aujeu de langage qui animerait tout jeu de langage en lui fixant ses conditions d'opérance à partir des a priori ethiques de la communication. Cette question peut-elle être formulée par une «rationalité illocutionnaire» sans exhiber du meme coup son inconsistance? quelles transformations doit-on lui apporter pour qu'elle instaure ses conditions de pertinence theorique et de resolution pragmatique? On ne peut y répondre qu'en confrontant les pragmatiques universelles et transcendantales à leurs présuppositions anthropobiologiques: cette confrontation sera menée dans: Vers une pragmatique nucleaire de la communication (à paraître).
